
Les villages djiboutiens, et celui de Dougoum en particulier, sont composés de trois habitats différents. Le plus traditionnel est celui du centre sur la photo, le daboïta chez les Afars. Le plus pratique est la case, à droite sur la photo. C’est l’habitat préféré en été parce qu’il est le mieux aéré. Et le plus onéreux à construire est la maison circulaire en pierres de la région. Il suppose que les résidents habitent là définitivement.