
Quand j’étais enfant, l’un de mes voisins labourait encore ses champs avec une charrue tractée par un solide cheval. Puis le tracteur s’est imposé glorieusement dans toutes les campagnes. Aujourd’hui, le prix des carburants pousse de nombreux agriculteurs « bio » à revenir sur ce mode de traction. Avoir le recul, permet de s’interroger sur la fugacité des progrès techniques et sur la volatilité de nos certitudes.