
Il est dangereux de contester sans cesse les principes de notre Liberté. Nous faisons reposer notre démocratie sur le suffrage universel et sur l’élection du plus représentatif. Si nous ne l’acceptons plus, nous nous dirigeons tout droit vers l’interdiction de voter, de faire grève, de voyager, de s’exprimer et de se réunir librement. La colère n’est pas une pensée.