
Évidemment, le droit de grève ne peut être remis en question. Mais il n’y a jamais eu de droit à la prise d’otages, à la spoliation des biens, à la destruction des libertés individuelles et au crime organisé. Les manifestations violentes et agressives doivent être condamnées avec fermeté. Les grèves ne doivent concerner que les relations entre les équipes dirigeantes et leurs vis-à-vis. La manifestation dans la rue est une incongruité absolue à partir du moment où elle se retourne contre les citoyens eux-mêmes déjà malmenés par les problèmes de la société.