
Nous comprenons les révoltes populaires comme celle des femmes en Iran. Nous soutenons les grèves qui luttent contre l’injustice. Mais nous ne pouvons pas accepter le comportement dictatorial d’un ramassis de politiques archaïques qui, en France, sont complices de preneurs d’otages, de casseurs et de fauteurs de troubles. Ils assassinent les libertés individuelles. Ils prétendent vouloir sauver la société, mais en réalité ils s’apparentent à des terroristes. Ils ne font pas grève, ils s’attaquent au peuple qu’ils veulent soumettre au plus malsain des totalitarismes. Ils ne combattent pas les vrais responsables. C’est plus simple de frapper cette immense majorité qui refuse la guerre sociale !