
Il arrivera bien un jour où les peuples comprendront que la Terre se meurt sous le bec des rapaces.
Il arrivera bien un jour où les peuples constateront que les grandes entreprises dévorent inexorablement la nature.
Il arrivera bien un jour où les peuples se révolteront contre les puissants du commerce et les politiques qui regardent fleurir leurs comptes bancaires et mourir les arbres du printemps.
Il arrivera alors un jour où les peuples finiront par éliminer tous ceux qui mettent en péril notre monde.
Arrivera alors un jour où l’urgence poussera les foules à des comportements barbares.
Et nous devrons alors garder le silence.