Couverture

Genre littéraire
Roman
Le titre
Les mal-aimes, ce sont les trois personnages de ce roman qui sont à la recherche de l’amour et de la réussite.
La dédicace
Le roman « Les mal-aimés » est dédicacé à Marie.
La photo de couverture
La photo de couverture a été trouvée sur Internet. Elle semble être libre de droits.
Présentation
Laurine, épouse mal-aimée, n’a pas de chance. Elle subit une quantité impressionnante de problèmes. Elle rêve de s’en sortir par n’importe quel moyen. Daoud, l’immigré, a fui son pays djiboutien avec l’espoir de trouver le bonheur dans lequel baignent les Français. Mounir, la proie facile, ne trouve aucun goût à la vie. Ces êtres perdus et mal-aimés se cherchent dans le regard des autres, près du port de La Rochelle. Ils ne se rendent pas compte que le hasard des rencontres les pousse tous les trois vers la tragédie. On court après le bonheur mais, s’il n’y a ni raison, ni logique, on ne rattrape que les désillusions. Le désir est loin d’être suffisant.
Vidéo
À venir…
Incipit
– Moi, j’en ai marre de la tyrannie des pauvres. « Ah ! ben non ! on ne peut pas t’acheter cette robe ! Pas ce mois-ci… Un vélo électrique ? Tu rêves, ma fille ! »
C’est tellement épouvantable que je ne sais pas comment en parler. Où sont les mots pour décrire l’horreur ? On vit la misère dans notre corps et dans nos pensées. Nous vivons l’humilité et le dédain comme si c’était un poison dans nos veines… Un poison qui nous fait mal, au quotidien.
Qu’est-ce qu’ils croient, les riches ? Ils se voilent les yeux ? Ils ne veulent pas voir ?
La pauvreté, je l’ai vécue chaque jour de mon enfance. Mes parents y étaient résignés. Ils la subissaient comme un orage permanent. Qu’est-ce qu’on peut faire contre la pluie ? Si tu ne trouves pas de parapluie, tu prends tout sur la tête. C’est ce que mon père disait. Mais il ne faisait rien pour éviter les averses. Il pensait que vouloir faire des mains et des pieds pour sortir du cloaque, c’était le moyen le plus sûr pour s’attirer des ennuis. Alors, il ne fallait pas bouger. On ne faisait pas de politique, on ne participait à aucune fête, à aucune réunion. On disait simplement bonjour à nos voisins. Pas aux autres.
Avis
De Christelle L. M.
Ça y est ! J’ai pu commencer la lecture du dernier livre de Jean-Marie. Très fluide, belle écriture, on plonge facilement dans l’univers de ses personnages très attachants. Les pages s’enchaînent très facilement.