La couverture

Genre littéraire
théâtre
Le titre
Il y a des enfants-rois… Ici, c’est une jeune fille qui veut séduire pour s’imposer et dominer.
Dédicace
à Émile Obadia
Photo de couverture
Photo de Nicolas d’Albenas, modèle : Blanche Alcy
A la fin du XXème siècle, le monde occidental estimait que pratiquement toutes les libertés étaient acquises et les valeurs solidement établies. Mais au début du XXIème, en est-il toujours ainsi ? À travers le comportement d’une adolescente qui veut entamer une épreuve de séduction auprès d’un homme qui pourrait être son père, on peut se demander si les nouvelles puissances économiques, le monde de la finance et celui de la publicité ne cherchent pas à imposer leur pouvoir de séduction en utilisant à l’excès le charme, l’insistance et la surenchère. Leur violence pourrait faire disparaître les valeurs lentement élaborées au cours des siècles par les plus vieilles civilisations : la liberté, l’objectivité, la compassion et la tempérance. La séduction n’est-elle pas une tyrannie ?
Extrait
« Le professeur
Pourtant, vous savez que la vie privée est protégée par la loi ?
La jeune fille
Protégée par qui en fait ? Vous connaissez quelqu’un qui s’est fait punir pour avoir divulgué des informations privées ? La loi, c’est une chose ; la réalité, c’en est une autre.
Le professeur
Il n’en reste pas moins vrai que le viol informatique est inadmissible.
La jeune fille
Il fallait vous protéger et ne pas vous exposer. C’est ce qu’on dit en général à une fille qui porte plainte pour viol… »
Vidéo
(à venir)
Avis
« J’ai lu avec un grand interêt ta pièce. Je dois t’avouer que je l’ai beaucoup aimée. Elle est à la fois prenante et surprenante. On se laisse comme aspirer, voire même « engloutir » tant on se sent vite emprisonné par l’intrigue et par le côté de la fuite en spirale, inextricable et inéluctable que l’on pressent d’ailleurs dés le départ. Même s’il y a quelques rėpétitions, nécessaires ici, la fin est particulièrement bien trouvée. C’est une chute que l’on finit par deviner, en fait, car on est soi měme devant ce dilemme, avec -il faut bien l’admettre,- un suspens digne du maître en la matière, Alfred H… J’ai donc beaucoup aimé. » Émile O.
Je viens de terminer la lecture de votre pièce. J’ai beaucoup aimé, je l’imagine bien sur les planches d’un théâtre. J’ai beaucoup apprécié cette montée en pression jusqu’à la fin où on peut tout imaginer. Une pièce dure mais qui laisse de la place à libre interprétation sur l’amour, la vie et tant d’autres choses. Blanche Alcy
On imagine bien la scène! L’endroit, le milieu! Et on bout intérieurement! Non, elle ne va pas oser! Et « ça continue ,encore et encore…. » comme dit Francis Cabrel! Mais jusqu’où? Où sont les limites ? C’est à vous de le découvrir…….
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