10-05-22. Les quatre îles

Fouras, vue sur l’île Madame

Vous prendrez bien un banc

Deux cents mètres devant

L’entrée du Fort Vauban

A droite, vous verrez

Au loin, l’île de Ré,

Et l’Ile d’Aix tout près.

Au fond, sur l’horizon

C’est l’île d’Oléron

Du Pont à Chassiron.

Puis à trois coups de rames,

On a toute la gamme

Des trésors de Madame.

04-05-22 Dis-moi que tu m’aimes !

Depuis quelques décennies, l’être humain n’est plus au centre de l’univers, mais l’animal. L’humain est une espèce parmi tant d’autre, qui plus est périssable. Et dans notre société, la relation homme animal a été renégociée. Le chien, par exemple, peut vivre dans votre maison, manger à votre table, se reposer dans votre lit, vous embrasser, vous lécher. Manifestement les médias s’orientent de plus en plus vers l’acceptation de la cohabitation et certains de la zoophilie.

03-05-22 Au travail, les politiques !

La vraie question est de savoir comment les chefs d’état des pays précurseurs en matière d’écologie peuvent convaincre tous les autres pays que l’environnement est essentiel à notre survie. Beaucoup trop de politiques prétextent la pauvreté de leur pays ou des priorités différentes pour éviter de s’en préoccuper. C’est ensuite à ces mêmes chefs d’état de convaincre les entreprises. Qui a dit que les politiques ne servent à rien ?

02-05-22. Le poids de la masse

Tout est dans la masse ! On a le tourisme de masse (comme à Venise), la médecine de masse (comme avec le Covid), l’alimentation de masse (comme avec Carrefour), les communications de masse (comme avec Facebook), la culture de masse (comme avec le cinéma hollywoodien), l’habitat de masse (avec les mégalopoles), l’énergie de masse (comme avec Total). Tout est massif alors que notre Terre exige la légèreté et la fluidité !

01-05-22 Ne pas jouer avec le feu

Il est dangereux de contester sans cesse les principes de notre Liberté. Nous faisons reposer notre démocratie sur le suffrage universel et sur l’élection du plus représentatif. Si nous ne l’acceptons plus, nous nous dirigeons tout droit vers l’interdiction de voter, de faire grève, de voyager, de s’exprimer et de se réunir librement. La colère n’est pas une pensée.

30-04-22 Réseaux anti-sociaux

Après avoir envahi les bords de nos routes, nos radios, nos chaînes de télévision, les publicités S’imposent sur tous nos réseaux sociaux au détriment des informations que nous recevions de nos parents, de nos amis et de nos groupes sociaux. Nous en sommes gavés jusqu’à écœurement. Elle a droit d’exister bien sûr, mais nous devrions avoir la possibilité de choisir comme dans toute démocratie.

29-04-22 Retour dans notre futur

Quand j’étais enfant, l’un de mes voisins labourait encore ses champs avec une charrue tractée par un solide cheval. Puis le tracteur s’est imposé glorieusement dans toutes les campagnes. Aujourd’hui, le prix des carburants pousse de nombreux agriculteurs « bio » à revenir sur ce mode de traction. Avoir le recul, permet de s’interroger sur la fugacité des progrès techniques et sur la volatilité de nos certitudes.

28-04-22 Où sont les pêcheurs ?

Les carrelets de la Charente à la Sèvre Niortaise pourraient mettre à mal le petit monde de la mer. Mais il faut bien le dire, ils sont davantage des éléments de notre décor que de véritables instruments de destruction. Les petites crevettes et autres crabes ont peu de soucis à se faire, les terribles pêcheurs ne viennent que rarement et préfèrent poser leurs yeux dans les vagues et les nuages.

20-04-22 Écrire pour le monde

Écrire pour pouvoir lire

Aujourd’hui plus que jamais, les écrivains peuvent être lus dans tous les pays du monde. Il est loin le temps où ils ne touchaient que la société réduite à leur entourage. Comme le commerce, la littérature sera mondialiste. Mais il sera nécessaire d’en éviter les travers. Elle respectera les cultures et dénoncera les injustices.

17-04-22 En campagne !

J’accepte l’idée qu’un être humain peut changer d’objectifs, de carrière, de caractère ou de philosophie durant sa vie. Mais je crois davantage aux actes qu’aux promesses. Les illusionnistes sont installés à la une des médias aujourd’hui. En politique, préférons encore et toujours la solidité de l’expérience à la fragilité de l’imaginaire quand il n’est fait que de belles promesses. La bande-annonce peut être alléchante et le film décevant.

16-04-22 Le chef d’état et moi

Je ne me fais pas d’illusion : quand je ramasse un sac en plastique ou un masque usagé, je ne bouleverse pas l’état de la planète. Mais quand un chef d’état décide de bloquer la production des objets polluants au profit des objets en bois ou en papier, il contribue réellement à l’amélioration de la santé planétaire. Nous pouvons, à la rigueur, être des lanceurs d’alerte ou des exemples à suivre, mais nous ne sommes rien de plus !

15-04-22 Les mots d’amour

Après mes premiers poèmes, voici le recueil de la deuxième période : sortir de l’adolescence pour s’installer dans la société et pour s’ouvrir à l’altruisme. La fondation d’une famille et l’installation dans la société permettent de trouver d’autres regards et d’autres mots pour les chanter.

14-04-22. Méfie toi des rêveurs !

C’est une pièce que j’ai commencée il y a très longtemps. Une réflexion sur le pouvoir et l’amour. Les autorités se méfient des amoureux, des poètes, des « voyants » et des rêveurs qui aiment avant tout la liberté et se moquent des calculateurs et des profiteurs.

13-04-22 Écris ! Écris !

Voici le recueil des poèmes de mon adolescence. Il y est question du bouleversement et des angoisses propres à cet âge. La solitude et le silence sont autant redoutés qu’espérés. L’important est de pouvoir mettre des mots sur les sentiments et les rêves.

12-04-22 De l’amour à la tyrannie

Les réseaux sociaux racontent un monde parfait. On rit, on aime, on danse, on fait de l’humour, on est super heureux. La réalité est faite aussi de violences et de tyrannies. C’est la dualité des enfants-rois qui oscillent entre séduction et agression. Il faut une force et une sagesse étonnantes à tous les adultes qui essaient de canaliser les humeurs farouches de leurs enfants. Ne pas savoir le faire les condamne au pire.

11-04-22 Donner un sens au temps qui passe

Avoir chaque jour deux ou trois pensées avant de sombrer dans le fourmillement des automatismes quotidiens, c’est la proposition de cet éphéméride. Au fil de ces phrases, je dis qu’il ne suffit pas de sourire, il faut aussi s’inventer un but qui donne envie de comprendre et de poursuivre.

10-04-22. Je vais voter !

Pour expliquer leur refus de voter, ils sont nombreux à  dire que les Politiques ne font rien et ne s’occupent pas d’eux, quand ils ne disent pas qu’ils sont tous pourris.

Ces Politiques vilipendés sont ceux qui font tourner les bus, qui permettent la distribution de l’eau et de l’électricité, qui développent les moyens de communications, qui améliorent les routes, financent les hôpitaux, les collèges et les lycées, ceux qui améliorent notre quotidien. Bien évidemment, rien n’est parfait. Tout peut être amélioré. C’est vrai. Mais il est aussi vrai qu’on ne peut pas tout posséder et toujours obtenir le meilleur. Qui financerait tout cela ?

Il suffit d’aller un peu à l’étranger pour se rendre compte que nos Politiques ont créé un pays où l’on peut vivre très correctement lorsqu’on a un logement et un travail. Nous n’avons pas à nous plaindre et à pleurnicher. Serions-nous des enfants gâtés ?

Par contre, nous pouvons faire des projets et les proposer aux responsables du pays.

C’est là que s’impose le vote électoral. Selon les priorités des uns et des autres, il est normal de préférer un tel ou tel autre. Et pour faire valoir notre choix, il nous incombe de voter ! Ici se trouve la différence avec toutes les dictatures du monde !

09-04-22. Un triste bonheur

Nous passons notre temps à aimer : un être humain, un animal, un pays, un sport ou un loisir… C’est la seule liberté de notre vie. Tout cet amour que nous recevons et que nous donnons, cet amour que nous adulons est semé d’embûches, de pièges et parfois de morts. C’est ce triste bonheur que raconte « Le porte-bouquet ».

08-04-22. Aimer le feu

Avec des poèmes, des photos et des mots isolés, j’essaie d’expliquer pourquoi tant de voyageurs s’attachent définitivement à Djibouti, ce pays brûlant, violent, pauvre, cruel, menteur et pourtant vibrant, spectaculaire, unique et réellement attirant .

07-04-22 Djibouti, au cœur des enjeux

Ce roman raconte comment Djibouti, une ancienne colonie française, est devenue une terre disputée par les grandes puissances. La France, les États-Unis, les pays arabes, la Russie et, à présent la Chine, ont mené une lutte sans-merci depuis 1977 pour s’approprier ce haut-lieu stratégique en malmenant les Afars et les Somalis.

%d blogueurs aiment cette page :